De la musique à la politique en passant par les syndicats
Suite à une carrière internationale de chant qui s’achève en 2015 avec le disque
« Myrthen »,enregistré avec Fabrizzio Chiovetta à Dobbiaco (Italie) et après
être redevenue sédentaire afin de se consacrer à sa famille, Priscille Dia-
Laplace réalise la détérioration des services publics à Genève et en Suisse et
décide de se syndiquer à la FAMCO (en tant qu’enseignante) et au SSP (en tant
que fonctionnaire). Les grandes grèves de 2015 sont l’occasion de manifester
contre le délitement du service public et la création de lois iniques telle que
« Personal Stop » lancées par une droite de plus en plus agressive et
dangereuse selon son point de vue.
En 2017, toujours syndiquées et engagée à ce niveau-là, elle décide ensuite
d’entrer en politique afin de pouvoir agir en amont et choisit le Parti Socialiste,
plus grand parti de gauche en Suisse à être représenté tant au niveau
communal, cantonal que fédéral et issu du monde syndical.
En 2019, elle est élue au comité directeur du Parti Socialiste à Genève en tant
que représentante de l’Assemblée Générale.
En 2020, elle devient Conseillère Municipale à Lancy et est actuellement cheffe
de groupe des conseillers municipaux de sa commune.
En 2022, elle soutient activement la campagne de Thierry Apothéloz qui est
réélu en tant que Conseiller d’Etat à Genève.
En 2023, elle est candidate au Conseil national et fait campagne aux côtés de
ses brillant-e-s colistières et colistiers Christian Dandrès, Estelle Revaz, Thomas
Wenger, Laurence Fehlmann Rielle, Cyril Mizrahi, Léna Strasser, Sami Kanaan,
Joëlle Bertossat, Florian Schweri, Oriana Brücker et Thomas Bruchez.